16 MAI 2018
COLORANT E171 NOM DE CODE : « MEURTRIER »
Chers amis lecteurs,
Ce titre est celui de l'édito du Docteur Paul Dupont paru dans le mensuel Alternative santé, N° 57 de mai 2018 qui mérite que je vous en fasse partager dans son intégralité la teneur de ce qu'il nous révèle. Libre à chacun d'en tirer les conclusions qu'il jugera opportunes.
«« Voilà
maintenant plus de dix ans que l'on connaît la toxicité du dioxyde de titane,
colorant omniprésent. On aurait pu penser que c'est seulement lorsqu'il est
inhalé qu'il est cancérigène. Non! Il est toxique et dangereux quel que soit
son mode d'utilisation. Et c'est par ailleurs un produit inutile, car il ne
sert que de colorant; et malheureusement, on le retrouve maintenant, chose
encore plus terrifiante, sous la forme de nanoparticules dans nos assiettes et
dans nos médicaments, ainsi que dans les colorants de certaines gélules de
compléments alimentaires. E171, retenez bien ce code. Il s'agit d'un minerai
très dur qui peut pénétrer dans la cellule et y rester tout en l'oxydant, d'où
son caractère cancérogène. Les publications les plus récentes le concernant
font froid dans le dos. Associé aux aliments sucrés, il va perturber leur
absorption, favoriser des lésions hépatiques qui perturbent le métabolisme des
sucres et augmentent le risque de diabète et de dépôts graisseux. Mis en
contact avec le cuir chevelu, il est la cause de lésions irréversibles et
notamment d'une pathologie de plus en plus fréquente qui se traduit par une
fibrose du cuir chevelu avec perte de cheveux. Ce sont ces mêmes nanoparticules
de dioxyde de titane qui s'attaquent aux fonctions de l'aorte.
L'an dernier déjà, une étude de l'Inra
avait montré que des animaux qui absorbent les nanoparticules de dioxyde de
titane voient le risque de présenter
un cancer
augmenter de 40%. Mais depuis le début de l'année, les publications alarmantes
se multiplient. On évoque des problèmes
neurologiques, puisque ces nanoparticules peuvent pénétrer le cerveau. Des
troubles de l'immunité, et ce qui est plus grave, des perturbations du placenta
qui pourront peut-être expliquer certaines fausses couches.
Ces nanoparticules sont présentes dans
certains dentifrices, bonbons, biscuits, chewing-gums, dans la blanquette de
veau, etc. La multiplication des produits contenant cette forme de dioxyde de
titane entraîne un effet cumulatif. Et c'est alors qu'il devient sous sa forme
nanoparticulaire un véritable poison environnemental. Qu'attendent donc les pouvoirs
publics pour l'interdire? Que les scientifiques publient des milliers et des
milliers de pages dans la littérature scientifique? Pas même...
Malheureusement, il y a toujours un décalage entre la mise sur le marché trop
hâtive de certains produits, et la prise en compte des risques qu'ils peuvent
faire courir à l'être humain.
En attendant, mieux vaut prévenir et
lire les étiquettes des crèmes et des
aliments que vous absorbez.
Paul Dupont »»
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